>laurence, Cette envie, ce besoin de ma part de mettre en scène la peinture remonte à une quinzaine d'années. Deux phénomènes essentiels en sont à l'origine. Il m'avait paru évident qu'à l'instar d'un collier, auquel rien ne vaut tant qu'être porté et animé par la personne qui le porte au lieu d'être présenté inerte dans le plus bel écrin fût-il. Une peinture se plaît et s'anime dès que vous la décrochez de son clou, de son mur. Une autre raison : un pied de nez à l'Institution qui attend parrainage et soumission pour vous fixer, vous figer sur ses murs et dans ses archives. Baltha
J'aurais aimé me promener dans ce parc... Une magnifique initiative Hervé,tous les lieux devraient exposer ce genre de poésie, les arbres devraient suspendre à leurs branches l'art qui est offert par amour, don de soi. La nature prendraient ainsi dans ses bras les richesses de la nature humaine. Une communion qui rendraient les gens unanimes.
>Lidia, Les surfaces publiques pourraient être tenues de recevoir des expos éphémères sur les lieux qu'elle gèrent, selon un cahier des charges simplifié. Malraux aurait appelé cela l'accès à la culture. Ses successeurs en ont fait peu à peu des industries de communication puis de consommation à peine déguisées. Baltha
C'est toujours quelque chose qui m'a plu, cette idée de montrer l'Art au coeur d ela nature , dans un contexte inhabituel, et j'avoue que là je suis comblée par votre idée de voir vos toiles dans ces arbres. belle invitation printanière, Bravo L'artiste! lô
12 commentaires:
Baltha le printemps comme galerie c'est vraiment une merveilleuse idée
>laurence,
Cette envie, ce besoin de ma part de mettre en scène la peinture remonte à une quinzaine d'années.
Deux phénomènes essentiels en sont à l'origine. Il m'avait paru évident qu'à l'instar d'un collier, auquel rien ne vaut tant qu'être porté et animé par la personne qui le porte au lieu d'être présenté inerte dans le plus bel écrin fût-il. Une peinture se plaît et s'anime dès que vous la décrochez de son clou, de son mur.
Une autre raison : un pied de nez à l'Institution qui attend parrainage et soumission pour vous fixer, vous figer sur ses murs et dans ses archives.
Baltha
j'aime beaucoup votre commentaire, et l'idée de déplacer les toiles pour les faire vivre..
>elle-c-dit,
Votre commentaire se mêle très bien aux crocus du parc du MAMI.
Merci à vous,
Baltha
si je me pends encore aux arbres
c'est qu'il reste en moi une part douce
de l'enfance
ou de l'animal
>isdid,
et des arbres, non?
Baltha
Laurence a raison.
Le thème tombe sous le sens mais de bien belles images à regarder.
J'aurais aimé me promener dans ce parc...
Une magnifique initiative Hervé,tous les lieux devraient exposer ce genre de poésie, les arbres devraient suspendre à leurs branches l'art qui est offert par amour, don de soi. La nature prendraient ainsi dans ses bras les richesses de la nature humaine.
Une communion qui rendraient les gens unanimes.
>Lidia,
Les surfaces publiques pourraient être tenues de recevoir des expos éphémères sur les lieux qu'elle gèrent, selon un cahier des charges simplifié.
Malraux aurait appelé cela l'accès à la culture. Ses successeurs en ont fait peu à peu des industries de communication puis de consommation à peine déguisées.
Baltha
C'est toujours quelque chose qui m'a plu, cette idée de montrer l'Art au coeur d ela nature , dans un contexte inhabituel, et j'avoue que là je suis comblée par votre idée de voir vos toiles dans ces arbres. belle invitation printanière, Bravo L'artiste!
lô
>lô,
Vous? Mais c'est un oeuf de Pâques parmi les crocus!
Clémentine
lô,
J'oubliais, je suis impardonnable, café? Sucre ou non?
O' Neeball
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