Ou comment ne pas se marcher sur les pieds entre castings, Propos d'Atelier, doubles nombreux et variés, remontées aux origines et immortalité et que tous participent à la construction d'une identité picturale aussi fragile que leur auteur.(*)
Mise en site de peintures, La Capelle Masmolène, 1996
Mise en site de peintures, La Capelle Masmolène, 1996
Mise en site de peintures, La Capelle Masmolène, 1996
Mise en site de peintures, La Capelle Masmolène, 1996
Mise en site de peintures, La Capelle Masmolène, 1996
(*) Un point d'interrogation serait-il ou non superflu ici?
Mise en site de peintures, La Capelle Masmolène, 1996
Mise en site de peintures, La Capelle Masmolène, 1996
Mise en site de peintures, La Capelle Masmolène, 1996
Mise en site de peintures, La Capelle Masmolène, 1996
Mise en site de peintures, La Capelle Masmolène, 1996
(*) Un point d'interrogation serait-il ou non superflu ici?
6 commentaires:
Cette fragilité dont tu parles est aussi précieuse que la vie. Que dis-je, c'est la vie, dans son tremblement; son inimitable tremblement.
>Bona,
C'est aux plus durs que d'abord je dois ma fragilité mais ce sont les plus fragiles qui depuis la développent.
Many thanks, Bona.
Baltha
très intéressant ces 2 retours vers le passé.
Heureusement que tu es sain d'esprit. Si tu avais été fou, tu aurais pu lever une armée avec tous ces personnages exposés.
>choule[bnkr],
C'est la folie, je pense, qui m'a permis de passer à travers,
baltha
Tout ça, Baltha, c'est superbe.
>Mimi,
Je n'en étais pas sûr jusqu'à ce que tu le dises, me voilà définitivement rasseréné jusqu'à ton prochain passage.
Amitiés à toi,
Baltha
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