vendredi 30 juillet 2010

JAMAIS UN SANS TROIS


Bréchet, 3 portraits de Suchet, pastels, 29,7 X 21 cm, 1993 ou 94.

Je n'aurais jamais dû m'engager à publier un texte alors que je ne l'avais pas encore rédigé. Il m'a fallu me rendre à l'évidence, les textes que j'avais annoncés, lors de la précédente publication,  je n'ai pas su en mener la rédaction à terme d'une façon qui me satisfasse pleinement.

Aussi est-ce, sans "littérature" et en deux temps, que je vous fait partager les six derniers portraits qui complètent celui déjà publié.
Deale Esq., confus

5 commentaires:

Groslier a dit…

c'est précisément parce que l'on ne sait le dire qu'on choisi de le dessiner…
Vous êtes donc pardonner… (mais ne recommencer pas!)

LE MAMI a dit…

TG,
Vous avez pris vos R pour des Z ...
Que je vous y reprenne!

Baltha

P.S. Etes-vous bien sûr que les langages de la peinture et du dessin ne soient plus riches que celui de la parole?

Gilbert Pinna a dit…

La main qui dessine / les yeux disloqués, on sent toute la tension de cette captation.

LE MAMI a dit…

>Gilbert Pinna,
La tension chez le dessiné?
Baltha, sous haute tension

laurence a dit…

Ce sont de pastels n'est ce pas... j'en aime beaucoup la vigoureuse couleur qui mord un peu... juste pour le souci de sa pleinitude...mais sans gravité...