lundi 31 décembre 2012
dimanche 30 décembre 2012
samedi 29 décembre 2012
vendredi 28 décembre 2012
jeudi 27 décembre 2012
mercredi 26 décembre 2012
mardi 25 décembre 2012
lundi 24 décembre 2012
HIPPOLYTE LERONCHON TAG LE PERE NOEL
Le Père Noël est ... dernière tocade d'Hippolyte Leronchon
- Croyez-moi, le Père Noël est une ordure. Je lui ai écrit, n'a même pas répondu.
Un moment, là, au-dessus, j'ai crû que c'était lui derrière le rideau, j'ai pris une photo pour la postérité ... quand j'ai écarté les double-rideaux .... ce n'était qu'une veste vide suspendue sur un cintre.
dimanche 23 décembre 2012
samedi 22 décembre 2012
vendredi 21 décembre 2012
jeudi 20 décembre 2012
mercredi 19 décembre 2012
mardi 18 décembre 2012
lundi 17 décembre 2012
dimanche 16 décembre 2012
samedi 15 décembre 2012
vendredi 14 décembre 2012
jeudi 13 décembre 2012
mercredi 12 décembre 2012
QUAND HIPPOLYTE LERONCHON FAIT LA COM DU MAMI*
Petit manuel du parfait looser, page du jour.
Traduction :
Traduction :
Le Musée d'Art Moderne Itinérant
Le MAMI / ENTREE LIBRE
ENTREZ LIBRES
RESSORTEZ ALIENES*
(*) aliénés, unis par des liens informatiques, ou encore: "un aliéné est aussi un homme que la société n'a pas voulu entendre et qu'elle a voulu empêcher d'émettre d'insupportables vérités"; A. Artaud
mardi 11 décembre 2012
lundi 10 décembre 2012
dimanche 9 décembre 2012
samedi 8 décembre 2012
DIOGENE LEGUIGNON
Pauvre lampiste
Pour Diogène Leguignon voir ici
Je cite le synopsis de Wikipedia : "Les bonnes intentions de Diogène Leguignon, lampiste à la SNCF, le mènent invariablement devant le tribunal.Peinant à joindre les deux bouts, il est constamment tiraillé entre un voisin lunatique, une bande de jeunes voyous farceurs et ses tracas quotidiens.
Une nuit, alors qu'on l'installe dans une vieille cabane en bois, cette bande d'enfants découvre un trésor chez lui.Réveillé, Leguignon descend et les découvre.Le lendemain, c'est la guerre au tribunal pour savoir à qui revient le trésor.Malgré la bonne volonté de son avocat, la malchance leur fait perdre la totalité du butin, qui revient aux enfants, et donc indirectement à leurs parents.
Toutes les familles du village possédant maintenant une jolie somme d'argent, ils joignent leurs efforts pour construire un immeuble sur l'emplacement de la maison de Leguignon, pour le récompenser de sa gentillesse injustement mêlée de malchance.
Leguignon, revigoré, prend la tête du chantier et devient chef des finances du projet, tout en étant nommé dans une société d'encouragement aux ouvriers.
Malheureusement, cette société fait faillite.Leguignon passe alors par une terrible période ; son projet d'immeuble est avancé à moitié et il n'a plus d'argent pour le terminer.
Puis il découvre que le directeur de l'entreprise qui avait créé le service d'encouragement aux ouvriers et son secrétaire, qui aidait Leguignon dans la gestion de ses finances, ont en fait précipité la faillite de la société pour empêcher le projet d'être accompli...
vendredi 7 décembre 2012
lundi 3 décembre 2012
UN PETIT CARRE SOUS UN PARAPLUIE
Je ne crois plus depuis des lustres à un possible et durable retour à la croissance économique et, depuis tout autant de temps, je considère notre système économique comme des plus pernicieux dès lors qu'il prévaut et domine les champs de l'art et de la culture au lieu d'être inspiré par ces derniers.
Je sais, je ne suis pas complètement stupide, je vois bien que tout être vivant, tout ensemble de vivants doivent leur survie et leur croissance à la domination qu'ils exercent sur d'autres, aux richesses naturelles que nous pillons. Mais j'ai longtemps cru qu'il existait des sociétés modernes où une forme d'activité pouvait se retrancher des objectifs de son système économique pour se consacrer à une activité non-économique sans que nos sociétés y fassent obstacle. Et bien non, non que le système vous combatte ouvertement, mais tout simplement parce qu'il ne vous reconnait pas. Notre système transforme les jardins en ghettos, abat les arbres auprès desquels nous pourrions nous installer. Ainsi notre système n'est-il plus inspiré que par ce qui le conduit à sa perte et s'écarte-t-il de tout ce qui pourrait le renouveler. Nous demandons à la croissance de réactiver la croissance, ce sont là les seules perspectives qui s'offrent à ce système économique auquel nous demandons ce qu'il ne peut plus donner et que jamais nous n'aurions dû autant exacerber.
Depuis des décennies je vis et travaille tel Robinson Crusoé, à cette nuance près que je n'allume pas de feux pour qu'on m'y repère ni qu'on m'extrait d'une île sur laquelle je n'ai pas échoué, mais auprès de laquelle j'ai pris refuge, j'entends là cet atelier où je travaille. Je voulais un paradis, un atelier libre, dans un monde qui crée des paradis fiscaux. Je ne marche pas avec mon siècle. Je trébuche dans un univers qui marche sur la tête. Nous vivons, ce système et moi, dans deux mondes qui s'ignorent, nos vies s'achèvent sur des lits jumeaux, c'est bien là tout ce que nous partageons encore.
Propos d'atelier, 3 décembre 2012
samedi 1 décembre 2012
CROTTE ALORS, LA SOUPE
C'est quoi ce truc encore!
Si je quitte un musée, sors d'une expo, d'un ciné, si je viens de suivre une émission, que je ferme ma télé, mon ordi et que je n'ai pas une grosse envie d'atelier c'est qu'on aura une fois encore mangé dans mon assiette, vidé mon frigo et qu'on m'aura servi la soupe populaire.
Beaucoup d'endroits sont ainsi de faux media.
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