Actuellement, je ne retrouve rien, ne retombe plus sur ce qui me donnait envie de parler et traiter avec vous, de ce que j'appelle concept de création/aliénation.
C'est un fil que j'ai démêlé, ici même, pendant un temps, ailleurs plus longuement et différemment. Aujourd'hui et ici le déroulement de la pelote qui l'enveloppe encore, le constitue et en dissimule le coeur me semble pouvoir patienter, être remis à plus tard, dans un contexte moins euphorique et direct que celui que je traverse actuellement. Car, je ne m'interdis pas d'y revenir ici. Voilà un sujet qui n'a pas dit son dernier mot, tant que... encore bien longtemps, tant il était et reste proche de mon travail, de mon existence, la conscience que j'en ai. Tant il est proche du travail et de l'existence de tant d'autres.
Aujourd'hui, le regard, la pensée, l'attention, la curiosité me portent ailleurs. Il y a disponibilité, une disponibilité nouvelle, neuve, que j'ignorais avant la tenue de ce blog, engendrée par lui, par vous.
J'avais envie de vous dire cela.
Ces derniers temps j'étais un moment inquiet de savoir comment j'allais vous produire des images à regarder. Le stock de celles numérisées dont je disposais venait à épuisement. Fébrilement, j'ai recherché, fouillé dans mes boîtes à chaussures pour chercher de vieux clichés. Ils sont scannés désormais, la pénurie est écartée pour un bon moment. Ils me fournissent un bon support d'entretiens avec vous.
Peut-être, au-delà de cette ultime ressource, serais-je aliéné par vous? Et, dès lors, contraint de me remettre à peindre pour garder vos visites? Notez les points d'interrogation, s'il-vous-plait.
Votre Balthazar
C'est un fil que j'ai démêlé, ici même, pendant un temps, ailleurs plus longuement et différemment. Aujourd'hui et ici le déroulement de la pelote qui l'enveloppe encore, le constitue et en dissimule le coeur me semble pouvoir patienter, être remis à plus tard, dans un contexte moins euphorique et direct que celui que je traverse actuellement. Car, je ne m'interdis pas d'y revenir ici. Voilà un sujet qui n'a pas dit son dernier mot, tant que... encore bien longtemps, tant il était et reste proche de mon travail, de mon existence, la conscience que j'en ai. Tant il est proche du travail et de l'existence de tant d'autres.
Aujourd'hui, le regard, la pensée, l'attention, la curiosité me portent ailleurs. Il y a disponibilité, une disponibilité nouvelle, neuve, que j'ignorais avant la tenue de ce blog, engendrée par lui, par vous.
J'avais envie de vous dire cela.
Ces derniers temps j'étais un moment inquiet de savoir comment j'allais vous produire des images à regarder. Le stock de celles numérisées dont je disposais venait à épuisement. Fébrilement, j'ai recherché, fouillé dans mes boîtes à chaussures pour chercher de vieux clichés. Ils sont scannés désormais, la pénurie est écartée pour un bon moment. Ils me fournissent un bon support d'entretiens avec vous.
Peut-être, au-delà de cette ultime ressource, serais-je aliéné par vous? Et, dès lors, contraint de me remettre à peindre pour garder vos visites? Notez les points d'interrogation, s'il-vous-plait.
Votre Balthazar
9 commentaires:
Parfois de s'être déroulée trop vite, un nœud se forme, ralentissant l'évolution.
D'autres fois, c'est une pelote autre qui vient s'y emmêler. Et quelque fois on ne finit jamais la pelote ! Oh, elle servira bien un jour … dans un jacquard, pour faire une poupée pour les kermesses, voire apprendre à faire des pompoms ou du tricotin !
Alors comme ça vous laisser les pinceaux pour le tricot ? Qu'importe c'est toujours s'exprimer ! Comme Kaffe Fasset ?
http://www.kaffefassett.com/
Et oui, les ouvrages de dame étaient aussi des œuvres d'art ! La preuve, même un homme s'en inspire …
Une chanson dit même qque chose comme ça : "Moi j'tricote j'suis idiot(e), j'suis idiote etc.
Voulez-vous que je vous tricote un pull pour les grandes croisières?
Merci à vous Sar@h.Ca va?
Balthazar
Peut-être le moment est-il venu de reprendre les pinceaux, oui.
:-)
Reprendre les pinceaux?
Aujourd'hui, ce n'est pas une question à la quelle je répondrais seul. Je ne pense pas. Si je repeignais, je crois que je prendrai cette décision à deux.
Actuellement, j'ai ce blog. J'ai dit ici même plusieurs fois, de manières différentes que je considère le médium blog comme un médium certain d'éventuelles créations artistiques s'inscrivant dans l'art d'aujourd'hui.
Mon blog est encore assez mal organisé, je devrais pouvoir donner des références précises des messages où j'en parle, mais je suis pris en défaut.
Balthazar
Pardon pour les fautes d'orthographe du message précédent. Merci de rectifier vous-même.
B.
Si vous ne reprenez les pinceaux, pourquoi illustrer vos notes d'anciennes peintures ?
Sarah,
Une réponse facile et bête : je fais du neuf avec du vieux. Comme je me sens capable d'en parler aujourd'hui, ces temps-ci, je n'ai pas envie de le confier publiquement. C'est, pour moi, comme une confidence.
Balthazar
reprends les pinceaux = un compliment
Je ne le dirais pas à tout artiste.
;-)
Merci, joye, je t'embrasse.
Bon courage à toi.
Balthazar
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