( Transitions, suite 8/9 )
TRANSITION 017
Je constate, sans surprise, que je piétine à clore Transitions. Jusqu'à leur élaboration, il y a une douzaine d'années aujourd'hui, je pensais que mon travail allait, à terme, acquérir une part singulière et satisfaisante de reconnaissance. Reconnaissance que je n'ai cessé d'être seul à promouvoir et admettre dès lors et depuis. Ce qui, en soi, n'est pas une mince reconnaissance, non?
Cependant, avec Transitions, j'allais moi-même donner, malgré tout, à ma peinture et mon travail quelques heures de gloire. Pour le reste, le MAMI et moi avons fait avec, contre et malgré, bon gré mal gré. Sans que, pourtant, je parvienne moi-même à la sérénité affichée par mes peintures devant l'indifférence de leurs contemporains. Ma reconnaissance me semble, cependant, combler chacun des portraits que mes mains ont tracés et j'en suis bien comblé en retour.
Deale esq., Carnets d'atelier, janvier 2008.
Cependant, avec Transitions, j'allais moi-même donner, malgré tout, à ma peinture et mon travail quelques heures de gloire. Pour le reste, le MAMI et moi avons fait avec, contre et malgré, bon gré mal gré. Sans que, pourtant, je parvienne moi-même à la sérénité affichée par mes peintures devant l'indifférence de leurs contemporains. Ma reconnaissance me semble, cependant, combler chacun des portraits que mes mains ont tracés et j'en suis bien comblé en retour.
Deale esq., Carnets d'atelier, janvier 2008.
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