Friche de la Belle de mai, Marseille, 1996
Je n'avais presque aucune idée de ce que pouvait être la friche de la Belle de Mai avant que nous y travaillions. J'avais consulté un livre d'architecture pour me faire une idée de ce dont il s'agissait. Michel Puech, notre éclairagiste qui, lui, connaissait les lieux et y avait ses entrées m'avait dit : "Ca te plaira" . Je ne pouvais mettre en doute sa déclaration, pour moi, Michel qui avait éclairé de très grands dans les arènes de Nîmes était aussi un professionnel indiscutable sur les repérages.
Lorsque j'entrai sur les lieux, j'eus l'impression de marcher sur la Lune, d'être sur un décor de Bollywood, dissimulé derrière Mira Nair, Deepa Mehta, Chadha, à Cinecitta aussi bien, avec Fellini, ses assistants, avec Leone, Sica, Rossellini, Visconti, tout le néoréalisme italien. De lieux de tournages, je ne connaissais directement que feu ceux des Studios de la Victorine à Nice. Tout cela m'offrait de nombreuses possibilités et, en premier, celle de voir en grand.
Lorsque j'entrai sur les lieux, j'eus l'impression de marcher sur la Lune, d'être sur un décor de Bollywood, dissimulé derrière Mira Nair, Deepa Mehta, Chadha, à Cinecitta aussi bien, avec Fellini, ses assistants, avec Leone, Sica, Rossellini, Visconti, tout le néoréalisme italien. De lieux de tournages, je ne connaissais directement que feu ceux des Studios de la Victorine à Nice. Tout cela m'offrait de nombreuses possibilités et, en premier, celle de voir en grand.
Souvenirs de mises en scènes, Deale Esq., 1996
Face-à-face, tête-à-tête muraux :
2 commentaires:
♥ , j'aime ça...
>helenablue,
Quoi au juste?
Baltha
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