A mon grand-père Edouard, mort sur le front alsacien en 17, sans lequel jamais je n'aurais pu publier ces clichés.
Photo F. TESORIO
Entrepôts de la Seita
La Belle de Mai, Marseille, France
Il y a dans la mise en scènes, en sites, en friches de la peinture quelque chose que je crois très proche de ce que fut l'été 1936.
L'accès à une liberté inconnue jusqu'alors, inconcevable. Les congés payés, la Sécu., etc. Je voudrais rester dans la postérité comme un Léon Blum pour la peinture. Rien que ça!
Balthazar
4 commentaires:
La première photo est une jolie construction où l'écalirage d'un instant apporte un autre esprit au tableau !
J'aime les dames en carreaux et le dernier monsieur qui se trouve derrière des barreaux. Nous sommes souvent prisonniers des ombres.
Celui au milieu, j'ai l'impression que c'est lui qui devra remeubler la pièce, c'est comme s'il venait d'acheter un nouvel appart' vide.
:-)
J'aime beaucoup ces peintures mises en situation. Les effets d'ombre et de lumière leur confèrent une vie autonome, une étonnante présence. Très chouette, vraiment !
Vous me faites découvrir les unes et l'autre (excusez ces définitions bien impersonnelles) des choses que je ne voyais pas. Au point que je me sens un peu géné de signer de mon blog-pseudo.
Balthazar, tout de même.
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